dimanche 23 juillet 2023

Ce que le covid m'a appris sur l'écologie.

Il devient de plus en plus clair que la réaction au virus du covid a fait l'immense majorité des dégâts, et qu'au moins dix fois plus de gens sont déjà morts à cause du confinement et des traitements médicaux incorrects -y compris les vaccins- que directement à cause du virus.

Il devient aussi de plus en plus clair que non seulement le virus a été conçu comme une arme biologique imparable (comme expliqué en détails dans le célèbre papier de 2015 par Menachery, Baric et al.) mais que la plupart des gouvernements ont été informés par leurs propres services secrets ou par des services secrets étrangers, que le virus était une arme très dangereuse. Cela peut expliquer pourquoi les réactions gouvernementales furent si extrêmes et inusitées, et associées avec un déni têtu de la nature militaire du virus. Car si les gouvernements pouvaient continuer à donner leur confiance aux gens qui ont construit le virus et qui maintenant proposaient une série de remèdes miracles - le vaccin étant le cerise sur le gâteau - il était douteux que le public eut été prêt à un pari aussi audacieux.

Ignorant les explications rationnelles des scientifiques les plus renommés, comme par exemple Luc Montagnier, les gouvernements ont donc activement mis en avant toutes sortes de gens "influents", à partir du moment où leurs thèses pouvaient renforcer un récit différent sur la nature du virus.

Une de ces thèses alternatives a été l'idée que l'homme avait tellement détruit les équilibres naturels que des virus de plus en plus dangereux allaient maintenant s'en échapper, et attaquer l'espèce humaine, par vengeance si l'on ose dire. Un cas extrême de cette thèse fut même avancé: Que les humains devraient à partir de maintenant, limiter leurs interactions personnelles avec la nature "sauvage", pour ne pas "la déranger" en quelque sorte. L'aspect "personnel" et la notion de "sauvage" étaient cruciaux: Il ne s'agissait surtout pas d'arrêter la production de pesticides ou de déchets nucléaires, ni les voitures électriques, téléphones portables et les mines nécessaires à la production de batteries. Cette nature-là n'était pas "dangereuse" car elle n'était pas "sauvage", pas "vierge", déjà "humanisée" et "domestiquée" en quelque sorte. Le danger venait de la nature "sauvage" ou de ce qu'il en reste, et dont il convenait de ne pas s'approcher, car elle pouvait, qui sait, avoir le désir de se "venger", par exemple des péchés collectifs de notre espèce. Que les zones "sauvages" de la planète n'aient pas changé depuis 12 mille ans importait peu. C'était plus un rêve moderne, une nostalgie, qu'une réalité scientifique.

Le cinéaste Britannique David Attenborough a même fait une vidéo sur ce thème, une adaptation contemporaine du vieux thème du "dieu en colère", financée par la chaine gouvernementale Britannique BBC.

Un autre thème fut celui du sacrifice et de l'obéissance. Justin Trudeau, Emmanuel Macron, Narendra Modi et Jacinda Ardern furent des champions populaires de ce thème du chef qui punit durement car il aime sincèrement. Le Pape les a rejoint, en déclarant, un peu maladroitement, après une visite privée d'Albert Bourla, que se faire vacciner était "un acte d'amour". Un peu maladroit tout de même car l'amour étant dans le Christianisme traditionnellement associé au sacrifice, c'était suggérer de manière trop visible que le vaccin pouvait peut-être avoir des effets ambigus.

Une variation du thème de l'obéissance fut celui du respect des experts. C'était assez culoté car les plus grands experts étaient activement ignorés, et le récit gouvernemental n'était porté que par des scientifiques de troisième rang, des débutants, des fonctionnaires, des étudiants, des inconnus de disciplines associées, des journalistes, et des personnalités des arts, des sports et du spectacle. Evidemment cela faisait beaucoup de monde, mais les scientifiques solides, ceux qui avaient beaucoup publié ou fait des découvertes, manquaient curieusement à l'appel.

Une profession particulièrement divisée fut la profession médicale. Tellement de docteurs et d'infirmiers ont été virés parce qu'ils refusaient le vaccin ou l'administration de traitements dangereux, que Emmanuel Macron a dû les remplacer par des docteurs Libanais, attirés par un salaire supérieur, avec la condition qu'ils obéissent et se fassent vacciner. On ne trouvait plus de docteurs dans les hôpitaux au Liban. Cette anecdote montre que la profession médicale ne doit pas être collectivement suspectée de s'être mal comportée. Un grand nombre de soignants ont eu du discernement et ont aussi eu le courage de défendre leur serment d'Hippocrate même au prix de leur carrière.

Maintenant que les passions s'apaisent, la poussière retombent et que l'on commence à réaliser l'ampleur inouïe des dégâts, on peut se poser la question: Est-ce que cette tragédie du covid peut nous éclairer sur notre relation à la nature ?

Le virus a été conçu comme une arme. Des scientifiques et ingénieurs de haut niveau, soutenus par des fonds immenses, ont travaillé durant des décennies sur cette arme. Et puis, probablement durant les jeux militaires mondiaux à Wuhan fin octobre 2019, le virus a été lâché dans le public. Ensuite, on ne sait pas encore qui savait et qui ne savait pas que les vaccins étaient encore pire que le virus. L'armée des Etats-Unis a été entièrement vaccinée. On peut difficilement imaginer que ceux qui ont donné cet ordre savaient vraiment les conséquences, notamment cardiaques. Aucun militaire ne souhaite, par exemple, que le pilote d'un avion de chasse ait un arrêt du cœur au moment d'atterrir sur un porte-avion. Donc il est probable que ceux qui ont donné cet ordre pensaient vraiment que les vaccins protégeaient les soldats au lieu de les rendre invalides.

Mais le plus intéressant c'est que, même en mettant de coté les effets catastrophiques du confinement sur la santé publique, même en ignorant que de nombreuses personnes ont été systématiquement déclarées mortes du covid même lorsque la cause n'était pas le covid (comme un accident de voiture) simplement parce que le test RT-PCR (dont on sait aujourd'hui qu'il est essentiellement incorrect) signalait la présence du virus, la plupart des gens morts du covid sont morts à l'hôpital, suite à des traitements dont on sait maintenant qu'ils étaient souvent mortels. Par exemple, 97% des gens mis sous ventilateur sont morts.

Donc l'arme biologique ne fonctionnait pas si bien que ça.

Plus remarquable encore, son "efficacité" (Terme employé par Menachery et al. dans le papier de 2015) s'est très vite dégradée et sa virulence a diminué très rapidement, avec chaque variante successive, au point de devenir presque invisible. En se répandant de plus en plus, le virus rendait les gens de moins en moins malades.

Pour donner une comparaison, c'est un peu comme si des scientifiques avaient travaillé d'arrache-pied, durant des décennies, avec un luxe de moyens et des précautions de confidentialité et de sécurité extrêmes (des laboratoires entiers furent construits dans ce but, des mécanismes de financement ont été mis en place pour préserver la confidentialité, des barrières internationales furent misent en place pour confiner les risques politiques) à faire l'équivalent biologique de la bombe atomique, un virus létal a 90% et sans remède, et que la bombe, lâchée sur ses victimes, décide de se transformer toute seule et devient inoffensive.

Pire encore pour ses inventeurs, l'antidote conçu en parallèle, l'injection mRNA, se révèle être bien pire que le virus, et contrairement à lui, ne donne guère de signes de s'améliorer avec le temps.

Cela ressemble à une sorte de répétition de la débâcle des armes chimiques sur les champs de bataille européens de la première guerre mondiale, lorsqu'on a réalisé que le vent était imprévisible et pouvait retourner l'arme contre ceux qui la déployaient.

La leçon du covid pour l'écologie:

La nature nous a sauvés de nous-mêmes. La nature n'est pas un patrimoine qui nous vient du passé, elle est bien vivante et évolue très rapidement. Et nous en faisons intégralement partie.

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